Approches de la philosophie de Spinoza par michel Liégeois, professeur de Philosophie A1 – Rappel des conclusions de la première partie de l’Ethique Spinoza rappelle au début du texte les conclusions auxquelles il est parvenu dans la première partie, le
Introduction – Appendice
Lecture de l’Appendice du Livre I de L’Ethique de Spinoza par michel Liégeois, professeur de philosophie Ces quelques analyses ne prétendent pas épuiser la richesse du texte de Spinoza, mais, bien au contraire, elles ont pour objet d’inviter à la
Lettre à Chanut
par Yves Dorion « Lorsque j’étais enfant, j’aimais une fille de mon âge, qui était un peu louche ; au moyen de quoi l’impression qui se faisait par la vue en mon cerveau, quand je regardais ses yeux égarés, se joignait tellement
Lettre à Elisabeth (3)
par Yves Dorion « Epicure n’a pas eu tort, considérant en quoi consiste la béatitude, et quel est le motif, ou la fin à laquelle tendent nos actions, de dire que c’est la volupté en général, c’est à dire le contentement
Lettre à Elisabeth (2)
par Yves Dorion « Epicure n’a pas eu tort, considérant en quoi consiste la béatitude, et quel est le motif, ou la fin à laquelle tendent nos actions, de dire que c’est la volupté en général, c’est à dire le contentement
Lettre à Elisabeth (1)
par Yves Dorion « Premièrement je considère qu’il y a en nous certaines notions primitives, qui sont comme des originaux, sur le patron desquels nous formons toutes nos autres connaissances. Et il n’y a que fort peu de telles notions ; car,
Lettre à Chanut
par Yves Dorion « Lorsque j’étais enfant, j’aimais une fille de mon âge, qui était un peu louche ; au moyen de quoi l’impression qui se faisait par la vue en mon cerveau, quand je regardais ses yeux égarés, se joignait tellement
Lettre à Mesland
par Yves Dorion « Pour ce qui est du libre arbitre (…) je voudrais noter à ce sujet que l’indifférence me semble signifier proprement l’état dans lequel est la volonté lorsqu’elle n’est pas poussée d’un côté plutôt que de l’autre par
Lettre à Mersenne
par Yves Dorion « Les vérités mathématiques, lesquelles vous nommez éternelles, ont été établies de Dieu et en dépendent entièrement, aussi bien que tout le reste des créatures. C’est en effet parler de Dieu comme d’un Jupiter ou Saturne, et l’assujettir
Regulae II
par Yves Dorion « … De là on conclut avec évidence pourquoi l’arithmétique et la géométrie se montrent beaucoup plus certaines que les autres disciplines : c’est parce que seules elles se tournent vers un objet pur et simple à tel point